Waymo/Google : Anthony Levandowski (Uber) condamné à 179 millions pour vol !
Par Laurence - Publié le
C'est une amende record de 179 millions que devra payer Anthony Levandowski à Google. L'ex-ingénieur de Waymo (Alphabet/Google) et pionnier dans la recherche et le développement des véhicules autonomes était poursuivi pour avoir emporté près de 14 000 dossiers confidentiels lors de son départ en 2016.
Rappelons qu'Anthony Levandowski travaillait sur l'élaboration des systèmes de détection et de mesure par laser (Lidar) des véhicules autonomes. Il était même l'un des membres fondateurs du groupe de travail. En vrai feuilleton, son nouvel employeur (Otto) s'était fait racheter par Uber.
Mais la justice américaine finit toujours par triompher, puisque l'ingénieur s'était retrouvé devant un grand jury fédéral pour vol de secrets commerciaux, devant faire face à 33 chefs d’accusation. A la base, Il risquait tout de même 10 ans d’emprisonnement et 250 000 dollars d’amende, en plus d’une somme non chiffrée en dommages et intérêts.
Mais il semblerait que le montant n'ait pas du tout été prévu par l'ancien salarié, qui vient immédiatement de déposer un dossier de faillite pour son entreprise. En effet, ce dernier dépasserait largement ses actifs, qu'il estime entre 50 et 100 millions de dollars.
Néanmoins, l'ingénieur indélicat pourrait ne pas avoir à payer du tout cette somme. Comme le souligne The New York Times, son contrat de travail avec Uber pourrait jouer.
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Rappelons qu'Anthony Levandowski travaillait sur l'élaboration des systèmes de détection et de mesure par laser (Lidar) des véhicules autonomes. Il était même l'un des membres fondateurs du groupe de travail. En vrai feuilleton, son nouvel employeur (Otto) s'était fait racheter par Uber.
Mais la justice américaine finit toujours par triompher, puisque l'ingénieur s'était retrouvé devant un grand jury fédéral pour vol de secrets commerciaux, devant faire face à 33 chefs d’accusation. A la base, Il risquait tout de même 10 ans d’emprisonnement et 250 000 dollars d’amende, en plus d’une somme non chiffrée en dommages et intérêts.
Mais il semblerait que le montant n'ait pas du tout été prévu par l'ancien salarié, qui vient immédiatement de déposer un dossier de faillite pour son entreprise. En effet, ce dernier dépasserait largement ses actifs, qu'il estime entre 50 et 100 millions de dollars.
Néanmoins, l'ingénieur indélicat pourrait ne pas avoir à payer du tout cette somme. Comme le souligne The New York Times, son contrat de travail avec Uber pourrait jouer.
La question de savoir si Uber pourrait être considéré comme l'ultime responsable de cette sanction fait l'objet d'un différend [entre la société et Levandowski], a déclaré la firme de VTC. La question est donc de savoir qui de l'ex-salarié ou du nouvel employeur devra payer Google.
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