Outre les niaiseries marketing habituelles, la firme donne quand-même quelques chiffres intéressants. Par exemple, les machines Apple nécessiteraient du support pour seulement 5% des utilisateurs, contre 40% sous Windows. On apprend aussi qu'IBM possède plus de 130 000 Mac, une statistique qui ferait sans doute sourire le jeune Steve Jobs lorsqu'il se prenait en photo devant le QG du groupe avec le majeur bien levé. Big Blue devraient même atteindre les 200 000 machines siglées d'une Pomme cette année, si l'on y additionne les 50 000 MacBook fournis aux employés en 2015.
Le reste des pages se concentre sur les avantages du Mac, comme la compatibilité parfaite entre les appareils mobiles, la présence d'outils de productivité classique (notamment Office), la synchronisation entre les différents outils programmes par défaut ou encore les facilités de déploiement pour l'I.T.. Cela fera peut-être sourire quelques administrateurs système de grandes entreprises (Le Mac n'est pas exempt de défauts) mais cette réorientation fait tout de même plaisir à voir; on espère d'ailleurs qu'Apple considère enfin l'entreprise comme un marché pérenne et non comme une lubie passagère.
