Snapchat cartonne avec son abonnement payant
Par Laurence - Mis à jour le - Brève
Alors que les réseaux sociaux ont des sueurs froides en France, Snapchat se porte plutôt bien. Après avoir lancé une version premium l'été dernier "Snapchat+", la plate-forme vient d'annoncer avoir franchi le cap de 4 millions d'abonnés payants !
Le chiffre peut paraitre dérisoire au vu de certains services, mais constitue une excellente nouvelle pour la plateforme et ses financiers, qui y voient là une source supplémentaire de revenus. Notons qu'elle avait atteint le million d'abonnés en seulement six semaines l'été dernier.
Pour rappel, ce service coûte 3,99 euros par mois et donne accès à des options de personnalisation : badges spéciaux pour le profil, nouveaux modèles d'icônes d'application ou encore arrière-plans spéciaux pour les Bitmojis des souscripteurs de l'offre.
Plus récemment, Snap a adopté l'IA générative et a intégré un chatbot dénommé My AI dans son application, accessible pour tous les utilisateurs. Enfin Evan Spiegel -le CEO de Snap- a bien compris qu'il fallait montrer patte blanche en Europe et en a profité pour rencontrer cette semaine Thierry Breton, en plein milieu des discussions sur le Data Act.
Le chiffre peut paraitre dérisoire au vu de certains services, mais constitue une excellente nouvelle pour la plateforme et ses financiers, qui y voient là une source supplémentaire de revenus. Notons qu'elle avait atteint le million d'abonnés en seulement six semaines l'été dernier.
Pour rappel, ce service coûte 3,99 euros par mois et donne accès à des options de personnalisation : badges spéciaux pour le profil, nouveaux modèles d'icônes d'application ou encore arrière-plans spéciaux pour les Bitmojis des souscripteurs de l'offre.
Plus récemment, Snap a adopté l'IA générative et a intégré un chatbot dénommé My AI dans son application, accessible pour tous les utilisateurs. Enfin Evan Spiegel -le CEO de Snap- a bien compris qu'il fallait montrer patte blanche en Europe et en a profité pour rencontrer cette semaine Thierry Breton, en plein milieu des discussions sur le Data Act.