A Davos, Donald Trump demande (encore) à Apple de déverrouiler ses iPhone !
Par Laurence - Publié le
Donald Trump est actuellement à Davos, tout comme Tim Cook, et il en profite pour remettre une petite couche sur l'affaire de Pensacola. Comme à son habitude le Président ne mâche pas ses mots.
Il affirme ainsi à CNBC :
Cette demande fait suite à plusieurs requêtes du FBI, mais aussi du Procureur Général, William Barr. Pour autant, beaucoup se demandent pourquoi le Bureau fait appel à Apple pour déverrouiller les iPhone du tireur de Pensacola, alors qu’il pourrait utiliser d’autres moyens. Par conséquent, certains s'interrogent sur les raisons politiques de cette démarche et s'il ne s'agirait pas avant tout de « faire plier Apple »
Une autre question pourrait se poser quant à la légalité de ce moyen de preuves. En effet, les données récupérées illégalement ne pourraient pas être valablement utilisées dans un procès. En pratique, on remarque que dans les affaires citées, les propriétaires des iPhone sont généralement décédés ou ont consenti (circonstances non révélées) à l'utilisation de ce moyen.
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Il affirme ainsi à CNBC :
Apple doit nous aider. Et je suis très ferme sur ce point. Ils ont les clefs de tant de criminels et d'esprits criminels, et nous pouvons faire certaines choses. Mais, comme le dit justement Cupertino, il n'y a pas de service gratuit et le dirigeant attend désormais un retour d'ascenseur !
Je leur ai accordé des dérogations, car c'est une excellente entreprise. Et cela a fait la différence..
Cette demande fait suite à plusieurs requêtes du FBI, mais aussi du Procureur Général, William Barr. Pour autant, beaucoup se demandent pourquoi le Bureau fait appel à Apple pour déverrouiller les iPhone du tireur de Pensacola, alors qu’il pourrait utiliser d’autres moyens. Par conséquent, certains s'interrogent sur les raisons politiques de cette démarche et s'il ne s'agirait pas avant tout de « faire plier Apple »
Une autre question pourrait se poser quant à la légalité de ce moyen de preuves. En effet, les données récupérées illégalement ne pourraient pas être valablement utilisées dans un procès. En pratique, on remarque que dans les affaires citées, les propriétaires des iPhone sont généralement décédés ou ont consenti (circonstances non révélées) à l'utilisation de ce moyen.
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