Apple avait laissé passer 17 Apps contenant un malware (clicker trojan)
Par June Cantillon - Publié le
Malgré les efforts de Cupertino, certaines applications contenant des logiciels malveillants arrivent encore à se faufiler entre les mailles du filet.
Apple a confirmé avoir retiré 17 programmes de l'App Store après que les spécialistes de la sécurité de la société Wandera les ait pointés du doigt. Les applications incriminées provenaient toutes d'un seul et même développeur, AppAspect Technologies Pvt basé en Inde, et couvraient un grand nombre de catégories différentes.
Les Apps contenaient un cheval de Troie permettant de générer des revenus en gonflant le traffic de certains sites, à l'insu de l'utilisateur, drainant par la même occasion la batterie du smartphone infecté. Les programmes avaient réussi à échapper à la vigilance d'Apple en cachant le code malveillant, non pas à l'intérieur des Apps, mais sur un serveur distant.
Ces serveurs, une fois contactés par l'application, simulaient des interactions de l'utilisateurs. Les programmes en question était également disponibles sur Android avec des conséquences plus importantes, puisqu'elles pouvaient collecter en sus des informations personnelles, comme la localisation de l'utilisateur, et des détails de la configuration utilisée. Cupertino a déclaré avoir depuis améliorer ses systèmes de vérification afin de détecter en amont ce type de malware.
Source
Apple a confirmé avoir retiré 17 programmes de l'App Store après que les spécialistes de la sécurité de la société Wandera les ait pointés du doigt. Les applications incriminées provenaient toutes d'un seul et même développeur, AppAspect Technologies Pvt basé en Inde, et couvraient un grand nombre de catégories différentes.
Les Apps contenaient un cheval de Troie permettant de générer des revenus en gonflant le traffic de certains sites, à l'insu de l'utilisateur, drainant par la même occasion la batterie du smartphone infecté. Les programmes avaient réussi à échapper à la vigilance d'Apple en cachant le code malveillant, non pas à l'intérieur des Apps, mais sur un serveur distant.
Ces serveurs, une fois contactés par l'application, simulaient des interactions de l'utilisateurs. Les programmes en question était également disponibles sur Android avec des conséquences plus importantes, puisqu'elles pouvaient collecter en sus des informations personnelles, comme la localisation de l'utilisateur, et des détails de la configuration utilisée. Cupertino a déclaré avoir depuis améliorer ses systèmes de vérification afin de détecter en amont ce type de malware.
Source