Les mises à jour d'iOS beaucoup plus fréquentes depuis que Tim Cook est à la tête d'Apple
Par Arthur de la Brosse - Publié le
Depuis l'arrivée de Tim Cook à la direction d'Apple, le rythme des mises à jour d'iOS a augmenté de 51% par rapport à l'ère Jobs, apportant régulièrement de nouvelles fonctionnalités mais aussi un lot important de correctifs et d'optimisations en tous genres.
Du temps de Steve Jobs, la Pomme distribuait en moyenne 6,75 nouvelles itérations de son système mobile par an, contre 10,22 mises à jour annuelles depuis 2011, avec une fréquence en baisse entre le deuxième trimestre de l'année 2012 et le début de l'année 2013, suivie d'une belle progression avec un passage à environ 10 nouvelles versions d'iOS distribuées chaque année jusqu'à la fin du printemps 2017, et pas moins de 15 mises à jour proposées au cours des douze derniers mois.
Cette évolution s'expliquerait principalement par la multiplication des fonctionnalités incluses dans le système, mais aussi l'ouverture à de nouveaux marchés et un nombre toujours plus important d'appareils et d'accessoires dans l'écosystème du constructeur.
En gardant son rythme d'une mise à jour majeure par an, la Pomme semble par ailleurs avoir précipité la sortie de nouvelles fonctionnalités, laissant derrière elle de nombreux bugs, qu'elle s'est ensuite empressée de corriger en distribuant une ou plusieurs nouvelles itérations mineures du système.
Interrogée sur l'augmentation de la fréquence des mises à jour d'iOS, Apple rappelle que cette tendance est à situer dans un contexte plus large, et explique que ses équipes multiplient les efforts pour proposer des mises à jour régulières à très grande échelle, disponible pour tous les utilisateurs de matériel relativement récent.
D'après la Pomme, cette habitude serait un réel avantage pour les clients, lesquels ont par ailleurs la possibilité de laisser ces mises à jour s'installer automatiquement sur leurs appareils, et peuvent ainsi profiter régulièrement des derniers correctifs et de quelques fonctionnalités supplémentaires.
Le porte-parole de Cupertino rappelle enfin qu'environ 65% des utilisateurs d'iPhone ou d'iPad disposent de la toute dernière version logicielle, une avance colossale sur Android dont seulement 1% des clients profitent du dernier système en date.
Via
Du temps de Steve Jobs, la Pomme distribuait en moyenne 6,75 nouvelles itérations de son système mobile par an, contre 10,22 mises à jour annuelles depuis 2011, avec une fréquence en baisse entre le deuxième trimestre de l'année 2012 et le début de l'année 2013, suivie d'une belle progression avec un passage à environ 10 nouvelles versions d'iOS distribuées chaque année jusqu'à la fin du printemps 2017, et pas moins de 15 mises à jour proposées au cours des douze derniers mois.
Cette évolution s'expliquerait principalement par la multiplication des fonctionnalités incluses dans le système, mais aussi l'ouverture à de nouveaux marchés et un nombre toujours plus important d'appareils et d'accessoires dans l'écosystème du constructeur.
En gardant son rythme d'une mise à jour majeure par an, la Pomme semble par ailleurs avoir précipité la sortie de nouvelles fonctionnalités, laissant derrière elle de nombreux bugs, qu'elle s'est ensuite empressée de corriger en distribuant une ou plusieurs nouvelles itérations mineures du système.
Interrogée sur l'augmentation de la fréquence des mises à jour d'iOS, Apple rappelle que cette tendance est à situer dans un contexte plus large, et explique que ses équipes multiplient les efforts pour proposer des mises à jour régulières à très grande échelle, disponible pour tous les utilisateurs de matériel relativement récent.
D'après la Pomme, cette habitude serait un réel avantage pour les clients, lesquels ont par ailleurs la possibilité de laisser ces mises à jour s'installer automatiquement sur leurs appareils, et peuvent ainsi profiter régulièrement des derniers correctifs et de quelques fonctionnalités supplémentaires.
Le porte-parole de Cupertino rappelle enfin qu'environ 65% des utilisateurs d'iPhone ou d'iPad disposent de la toute dernière version logicielle, une avance colossale sur Android dont seulement 1% des clients profitent du dernier système en date.
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