Même si le compte a été ouvert pour attirer un public plus jeune, on peut découvrir avec un certain intérêt, des anecdotes, des endroits inédits ou réservés au personnel, la préparation des spectacles, les métiers de l'ombre, la vie des artistes et les répétitions, mais également quelques secrets de fabrication comme la confection des costumes ou des perruques de scènes (80 heures de réalisation pour ces dernières, en vrais cheveux ou en poils de yack).
Pour l'instant, il s'agit d'une initiative originale et peu répandue, @operadurhin est a priori le premier opéra de France à utiliser le média mais cela pourrait peut être donner des idées à d'autres institutions.
