94% des revenus de l'App Store vont dans les poches de seulement 1% des développeurs
Par Didier Pulicani - Publié le
SensorTower a publié son rapport trimestriel autour de l'App Store, dans lequel l'institut fournit quelques statistiques intéressantes, même si elles sont toujours sujettes à caution.
Ainsi, entre le 1er janvier 2016 et le 31 mars dernier, sur 1,43 milliard de chiffre d'affaires de la boutique d'Apple, 1,34 milliard irait dans les poches de seulement 623 éditeurs. En clair, 94% des revenus reviendraient à seulement 1% des développeurs :
Les 61 677 éditeurs restants doivent donc se partager un gâteau de seulement 6%, ce qui est assez faiblard. Pour terminer le calcul, les 85,8 millions de dollars doivent donc être découpés en 61 677 parts égales, soit 1400$ en moyenne pour chaque développeur.
L'eldorado de l'App Store est donc toujours très relatif lorsqu'on regarde la répartition des revenus, plutôt en faveurs des très gros studios de développement qui récoltent la majorité des transactions. Précisons également que parmi ces milliers de programmeurs, on compte également de nombreux indépendants qui n'ont pas vocation à vivre de la boutique (mais leur nombre n'est pas connu).
Source
Ainsi, entre le 1er janvier 2016 et le 31 mars dernier, sur 1,43 milliard de chiffre d'affaires de la boutique d'Apple, 1,34 milliard irait dans les poches de seulement 623 éditeurs. En clair, 94% des revenus reviendraient à seulement 1% des développeurs :
Les 61 677 éditeurs restants doivent donc se partager un gâteau de seulement 6%, ce qui est assez faiblard. Pour terminer le calcul, les 85,8 millions de dollars doivent donc être découpés en 61 677 parts égales, soit 1400$ en moyenne pour chaque développeur.
L'eldorado de l'App Store est donc toujours très relatif lorsqu'on regarde la répartition des revenus, plutôt en faveurs des très gros studios de développement qui récoltent la majorité des transactions. Précisons également que parmi ces milliers de programmeurs, on compte également de nombreux indépendants qui n'ont pas vocation à vivre de la boutique (mais leur nombre n'est pas connu).
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