L'iPhone 7s pourrait ne jamais voir le jour
Par Arthur de la Brosse - Publié le
Pour la première fois depuis la sortie de l'iPhone 3G, Apple ne présenterait pas de déclinaison
D'après l'analyste de Barclays, ce nouvel appareil aurait ainsi droit à des évolutions majeures, notamment l'arrivée d'un écran OLED et d'un système de recharge à induction, mais aussi la disparition du bouton d'accueil physique.
Ce changement de rythme permettrait ainsi de compenser les évolutions relativement modestes qu'Apple présenterait avec l'iPhone 7, lequel serait davantage une version améliorée des iPhone 6s. Pour Mark Moskowitz, les smartphones pommés qui sortiront à l'automne prochain seraient en effet légèrement plus fins et plus puissants que la gamme actuelle, perdraient leur prise mini-jack, et... c'est à peu près tout.
En se basant sur ces supputations, l'analyste table désormais pour l'année 2016 sur une baisse des ventes d'iPhone de l'ordre de 1,8% par rapport à 2015. Lors de ses précédentes prévisions, il s'attendait pourtant à une hausse de 2,6% pour l'année en cours.
Source
Sde ses appareils en 2017, et passerait directement à la numérotation suivante en dévoilant l'iPhone 8, prédit Mark Moskowitz.
D'après l'analyste de Barclays, ce nouvel appareil aurait ainsi droit à des évolutions majeures, notamment l'arrivée d'un écran OLED et d'un système de recharge à induction, mais aussi la disparition du bouton d'accueil physique.
Ce changement de rythme permettrait ainsi de compenser les évolutions relativement modestes qu'Apple présenterait avec l'iPhone 7, lequel serait davantage une version améliorée des iPhone 6s. Pour Mark Moskowitz, les smartphones pommés qui sortiront à l'automne prochain seraient en effet légèrement plus fins et plus puissants que la gamme actuelle, perdraient leur prise mini-jack, et... c'est à peu près tout.
En se basant sur ces supputations, l'analyste table désormais pour l'année 2016 sur une baisse des ventes d'iPhone de l'ordre de 1,8% par rapport à 2015. Lors de ses précédentes prévisions, il s'attendait pourtant à une hausse de 2,6% pour l'année en cours.
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