Les méthodes de l'association française peuvent parfois paraitre un peu extrêmes, mais elles ont le mérite de
garder un rapport de force entre les gros acteurs du net et les particuliers. Dans un
communiqué, l'UFC confirme
l'assignation en justice de Valve, propriétaire de Steam, essentiellement pour des questions de licence d'utilisation. Plusieurs clauses sont jugées abusives, notamment celle qui précise que Valve ne peut être tenu responsable en cas de défaillance du service. Autre gros dossier, celui de
la revente de biens numériques, un cas qui concerne d'ailleurs une grande partie de l'écosystème du web (Apple inclus). L'association aimerait faire plier l'éditeur et le forcer à autoriser la cession des licences achetées en ligne, au même titre que les versions CD.
Mais c'est pas gagné. [
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