Google travaillera avec l'agence spatiale française pour son projet Loon
Par Laura Tibourcio de la Corre - Publié le
Dans sa quête pour connecter la totalité de l'humanité, Google s'est alliée au CNES (le Centre national d'études spatiales) pour développer son projet Loon, et espérer un jour lancer assez de ballons dans la stratosphère pour atteindre son objectif.
Dans un premier temps, l'agence spatiale française a trouvé ce projet
L'agence spatiale devrait aider Google à travailler sur le design de ses ballons et analyser les données récoltées lors de tests, tandis que la firme de Mountain View aidera le CNES sur ce type de projets sur le long terme. Cependant, le Centre National n'est pas le seul à aider Google dans cette aventure :
De plus, Google devrait également bénéficier de l'expérience du CNES pour obtenir les autorisations nécessaires pour survoler de nombreux territoires, un défi que l'agence a dû relever il y a quelques années dans un autre projet :
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Dans un premier temps, l'agence spatiale française a trouvé ce projet
foumais suite aux tests que Google a menés récemment, ses responsables se sont finalement dit que le projet était faisable et qu'il méritait une plus grande attention :
il y a toujours quelque chose à apprendre pour des esprits cartésiens comme nous au CNESaffirme Vincent Dubourg, qui travaille également sur des projets similaires.
L'agence spatiale devrait aider Google à travailler sur le design de ses ballons et analyser les données récoltées lors de tests, tandis que la firme de Mountain View aidera le CNES sur ce type de projets sur le long terme. Cependant, le Centre National n'est pas le seul à aider Google dans cette aventure :
il n'y pas une seule solution qui peut résoudre un problème aussi grand et aussi complexeexplique Mike Cassidy, responsable du projet Loon.
C'est pourquoi nous travaillons avec des experts du monde entier, comme ceux du CNES, pour investir dans de nouvelles technologies, comme le projet Loon, qui peuvent utiliser les vents pour permettre aux zones rurales et reculées d'avoir accès à internet.
De plus, Google devrait également bénéficier de l'expérience du CNES pour obtenir les autorisations nécessaires pour survoler de nombreux territoires, un défi que l'agence a dû relever il y a quelques années dans un autre projet :
nous avions besoin d'autorisations provenant de 78 nations dans les latitudes que nous voulions utiliser, affirme Philippe Cocquerez, responsable du projet en question.
C'est beaucoup de travail diplomatique.
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