Neelie Kroes : "je suis indignée de la décision de Bruxelles de bannir Uber"
Par Laura Tibourcio de la Corre - Publié le
Dans un billet blog, Neelie Kroes s'indigne de la décision du tribunal de commerce de Bruxelles qui bannit Uber : Commander une course de ses rues. Elle affirme qu'au contraire, le service de VTC est le bienvenu.
Neelie Kroes est vice-présidente de la Commission Européenne et elle n'est pas contente du tout, ce qu'elle fait savoir dans un billet de blog intitulé
Elle affirme que cela n'aide en aucun cas les passagers mais vise à protéger les cartels du taxi et que bannir Uber n'offre aucune possibilité au service de faire les choses de la bonne façon, en payant ses taxes, en respectant la loi et en protégeant les passagers. Elle invite d'ailleurs Bruxelles a discuter avec Uber et à aider le service à se développer conformément à ses exigences plutôt que de lui claquer la porte au nez.
Neelie Kroes, qui a bien compris comment se faisaient les revendications 2.0 sur internet, invite les internautes à se plaindre à Brigitte Grouwels, ministre de la mobilité belge, sur Twitter @BGrouwels et à clamer sur le site de micro-blogging #UberIsWelcome.
Bien remontée, la vice-présidente de la Commission Européenne évoque des cas de viol en réunion perpétrés par des personne se faisant passer pour des taxis pour prouver que le système ne fonctionne pas totalement pour le moment et agrémente son post de
Source
Neelie Kroes est vice-présidente de la Commission Européenne et elle n'est pas contente du tout, ce qu'elle fait savoir dans un billet de blog intitulé
Crazy court decision to ban Uber in Brussels(décision de justice ridicule de bannir Uber à Bruxelles).
Elle affirme que cela n'aide en aucun cas les passagers mais vise à protéger les cartels du taxi et que bannir Uber n'offre aucune possibilité au service de faire les choses de la bonne façon, en payant ses taxes, en respectant la loi et en protégeant les passagers. Elle invite d'ailleurs Bruxelles a discuter avec Uber et à aider le service à se développer conformément à ses exigences plutôt que de lui claquer la porte au nez.
Neelie Kroes, qui a bien compris comment se faisaient les revendications 2.0 sur internet, invite les internautes à se plaindre à Brigitte Grouwels, ministre de la mobilité belge, sur Twitter @BGrouwels et à clamer sur le site de micro-blogging #UberIsWelcome.
Bien remontée, la vice-présidente de la Commission Européenne évoque des cas de viol en réunion perpétrés par des personne se faisant passer pour des taxis pour prouver que le système ne fonctionne pas totalement pour le moment et agrémente son post de
ils sont sérieux là ? Qu'est ce que c'est que ce système de justice ?,
cela embête tout le monde,
cela envoie un mauvais message anti-tech de Bruxelles qui est déjà dans les ténèbres de la 4G. Reste à savoir quel est le pouvoir de l'Europe face à une décision de justice locale.
Source