70 000 € de dommages pour un tweet !
Par Arnaud Morel - Publié le
Andrew, visiblement, estimait que l'enseignante avait intrigué pour remplacer son père, et la jugeait responsable de la dégradation de l'état de santé de celui-ci, qui avait quitté l'école en 2008, justement pour des raisons de santé. Le tweet concerné remonte à novembre 2012, 4 ans plus tard, mais a pris, semble-t-il, un tour un peu viral.
Quand des commentaires diffamatoires sont lancés sur les réseaux sociaux, il est d'évidence qu'ils ont tendance à se diffuser (...) par de simples manipulations sur les téléphones des utilisateurs. Le diable se niche là, dans l'effet multiplicateur de ce type de communication, a noté Michael Elkaim, le magistrat en charge de l'affaire. L'enseignante visée, elle, a mal vécu la chose, et s'est retrouvée en arrêt maladie, reprenant, plus tard, son travail à temps partiel.
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