En mai 2011,
Microsoft a déjà effectué un rachat massif, celui de Skype, le système de visio-conférence, que Redmond avait, à l'époque, racheté 6,45 milliards d'euros (8,5 milliards de dollars, dont 5 milliards pour le business et 2,2 milliards pour le portefeuille de brevets). En signant, aujourd'hui,
le rachat de Nokia, autrefois leader incontesté des mobiles, Microsoft a fait... un plus petit chèque : 5,44 milliards d'euros (7,2 milliards de dollars). Les chiffres sont cruels pour le géant finlandais.