iTMS et rentabilité
Par Contributeur - Publié le
Alors que qu'Apple annonce fièrement 17 millions de morceaux vendus via l'iTMS, on se dit "Chouette ! Plein de sousous dans la popoche de la popomme !". Mais la vérité est tout autre.
Sur le prix d'un morceau, on a pu voir qu'Apple se taillait un bon morceau, c'est à dire quelquechose comme 35%, le reste allant à la maison de disque ou à l'auteur. Du coup, 35% de 17 000 000 X 0,99 = Quand même pas mal de sousous. Mais gérer et héberger un iTMS, c'est pas donné. Et oui, entre les frais de serveurs, l'encodage, la bande passante, le pécule a vite fait de s'envoler. Du coup, le bénef net par morceau se monte à environ... 1 cents ( Donc en gros depuis le début 170 000$ de bénéfices réalisées grâce à l'iTMS).
Heureusement, l'iPod est là , et étant donné qu'il se positionne comme le balladeur taillé pour l'iTMS, ses ventes ne devraient pas chuter de si peu ! Avec les volumes commandés, Apple bénéficie maintenant de baisses sur les prix des composants, ce qui permettra à plus ou moins long terme de rendre le baladeur plus compétitif, au sens où son prix est encore son défaut majeur.
Au niveau concurrence, il y a toujours Napster, mais ses résultats médiocres ( gniark gniark gniark...) ne laissent pas entrevoir d'avenir brilliant. Lui aussi a un balladeur, conçu avec Samsung. D'après Chris Gorog,
Et puis que v'la-t-y pas un gros qui ramène ses octets dans la bagarre ? DELL bien-sûr, qui après avoir vendu des ordinateurs, des serveurs, des imprimantes, des PDAs et des téléviseurs se lance dans la musique online. D'abord avec le futur baladeur qui a fait couler déjà pas mal d'encre du fait de sa "grande originalité" et ensuite par un site de musique online, dont on ne sait encore rien.
Je passe sur Sony ( cf article de votre serviteur ici ) et tous les autres pour conclure que cette guerre musicale et informatique prendra un tournant certain lorsqu'elle arrivera sur notre bonne vieille Europe ( et puis aussi en Asie tant qu'à faire...). On verra alors qui sont les plus solides qui arriveront à s'exporter. L'Europe représente une monstrueuse part de gâteau... heu ! de marché pour tous ces constructeurs devenus colporteurs de musique.
C'est pour bientôt.
On l'espère tous.
Source : pour changer, Yahoo!Informatique
Sur le prix d'un morceau, on a pu voir qu'Apple se taillait un bon morceau, c'est à dire quelquechose comme 35%, le reste allant à la maison de disque ou à l'auteur. Du coup, 35% de 17 000 000 X 0,99 = Quand même pas mal de sousous. Mais gérer et héberger un iTMS, c'est pas donné. Et oui, entre les frais de serveurs, l'encodage, la bande passante, le pécule a vite fait de s'envoler. Du coup, le bénef net par morceau se monte à environ... 1 cents ( Donc en gros depuis le début 170 000$ de bénéfices réalisées grâce à l'iTMS).
Heureusement, l'iPod est là , et étant donné qu'il se positionne comme le balladeur taillé pour l'iTMS, ses ventes ne devraient pas chuter de si peu ! Avec les volumes commandés, Apple bénéficie maintenant de baisses sur les prix des composants, ce qui permettra à plus ou moins long terme de rendre le baladeur plus compétitif, au sens où son prix est encore son défaut majeur.
Au niveau concurrence, il y a toujours Napster, mais ses résultats médiocres ( gniark gniark gniark...) ne laissent pas entrevoir d'avenir brilliant. Lui aussi a un balladeur, conçu avec Samsung. D'après Chris Gorog,
le modèle Napster et nottament ses abonnements devrait permettre d'obtenir des bénéfices. A suivre donc de ce côté là...
Et puis que v'la-t-y pas un gros qui ramène ses octets dans la bagarre ? DELL bien-sûr, qui après avoir vendu des ordinateurs, des serveurs, des imprimantes, des PDAs et des téléviseurs se lance dans la musique online. D'abord avec le futur baladeur qui a fait couler déjà pas mal d'encre du fait de sa "grande originalité" et ensuite par un site de musique online, dont on ne sait encore rien.
Je passe sur Sony ( cf article de votre serviteur ici ) et tous les autres pour conclure que cette guerre musicale et informatique prendra un tournant certain lorsqu'elle arrivera sur notre bonne vieille Europe ( et puis aussi en Asie tant qu'à faire...). On verra alors qui sont les plus solides qui arriveront à s'exporter. L'Europe représente une monstrueuse part de gâteau... heu ! de marché pour tous ces constructeurs devenus colporteurs de musique.
C'est pour bientôt.
On l'espère tous.
Source : pour changer, Yahoo!Informatique