Schiller tente de dégonfler l'effet Galaxy 4 et débine Android
Par Arnaud Morel - Publié le
offensifou une manœuvre
défensive, chaque observateur y va de son qualificatif. Sur le fond, Schiller ne dit pas grand chose.
La fragmentation : les utilisateurs d'Android bénéficient souvent d'une version datant de plus d'un an, la fragmentation étant
pleine et simpledans l'univers du petit robot vert.
Android, en plus, n'est pas vraiment un OS de choix selon Phil.
Android est souvent proposé en remplacement d'un téléphone classique et l'expérience n'y est pas aussi bonne qu'avec un iphone, estime-t-il, ce en quoi on peut, au moins en partie lui donner raison (les statistiques de surf web, qui témoignent d'un poids supérieur d'iOS, déconnecté des volumes de vente notamment).
Selon Phil, et les études d'Apple, il y a 4 fois plus d'utilisateurs d'Android qui changent pour un à iPhone que d'utilisateurs d'Android qui changent pour un autre Android Phone.
Le problème, voyez-vous et selon Phil, c'est l'intégration.
Quand vous sortez un smartphone Android de sa boite, vous avez besoin de souscrire parfois jusqu'à 9 abonnements auprès de diverses entreprises pour arriver à une expérience voisine de celle proposée sur iOs dès l'allumage de l'iPhone.
D'ailleurs, Phil ne s'y trompe pas : les études de part de marché, défavorables, ne donnent pas une vision réaliste de l'univers des smartphones.
Point d'indice, cependant, sur le
pipelined'Apple. Phil se contente d'un peu d'auto-congratulation sur l'iPhone 5 et son écran qui est
toujours le meilleur du monde des smartphones. D'ailleurs, c'est simple, les phablets - les smartphone si gros qu'ils sont de petites tablettes - ne sont qu'un cache misère :
Comme l'iPhone 5 est si fin et si léger, les concurrents sont obligés de faire des smartphones avec des grands écrans pour essayer d'obtenir la même autonomie qu'avec l'iPhone 5.
Bel exercice de propagande, on attend maintenant les réponses côtés produits et OS...