Google et Opera derrière l'amende européenne contre Microsoft
Par Arnaud Morel - Publié le - Brève
Si l'on en croit les informateurs
habitués de cette affaire, c'est, fort civilement, Google et Opera qui ont pointé du doigt l'absence d'écran de choix d'un navigateur au sein de Windows 7 SP1, déclenchant, ainsi, l'investigation européenne. Cette absence, en violation d'un accord avec la commission européenne datant de 2009, vaut à Redmond d'écoper de 561 millions d'euros d'amende. Sympas les copains. C'est d'ailleurs Opera qui a été à l'origine de l'enquête initiale aboutissant au protocole d'accord de 2009, l'entreprise norvégienne est donc constante dans sa surveillance de Microsoft. Google, par contre, est un nouveau venu dans le bal.