Un responsable Swatch ne croit pas que la iWatch soit la prochaine "révolution"
Par Arnaud Morel - Publié le
n'est pas la prochaine révolution. Remplacer un téléphone par un terminal interactif qu'on porte au poignet est difficile. Il n'y a pas tellement de place pour un vrai écran, a-t-il indiqué.
En outre, estime-t-il, à cette difficulté du peu de place pour afficher des informations s'ajoute l'habitude des clients, qui considèrent les montres comme des objet de joaillerie, qu'ils aiment changer régulièrement.
À cette occasion, Nick est revenu sur la collaboration entretenue par Swatch et Apple, une information restée largement dans l'ombre jusqu'à ce jour. Les deux entreprises, rapporte-t-il, on discuté pendant des années des matériaux nécessaires pour générer de l'énergie à partir d'un mouvement. L'idée est d'exploiter, par exemple, les oscillations du bras déplacer un élément physique, dont le mouvement est transformé en énergie. Apple dispose d'un brevet dans ce domaine, mais celui-ci n'a pas encore été mis en œuvre dans ses gammes.
Autre information, Swatch dispose, depuis 2011, d'une licence lui permettant d'exploiter l'alliage
liquid metal, un alliage particulièrement résistant dont Apple avait longtemps gardé l'exclusivité, mais que la Pomme n'a pour l'heure exploité que dans son "trombone" à carte SIM pour iPhone.
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