Points noirs et d'interrogation autour de l'offre Free Mobile
Par Arnaud Morel - Publié le
Le lancement des offres de Free Mobile continue de susciter des tempêtes de réactions et des pelletées de commentaires.
Passé le choc initial, une série d'articles de presse tentent de relativiser les choses et de dégoter les points noirs des offres de l'opérateur. Parfois un peu tirés par les cheveux, ceux-ci suscitent à leur tour des torrents de réactions négatives et obligent les médias à de drôles de mea culpa.
Ainsi, Le Monde s'interrogeait, hier :
Même aventure pour rue89 qui essaye de trouver
Aujourd'hui, c'est au tour d'un acteur solide d'entrer dans la danse, avec l'UFC Que Choisir qui décrypte juridiquement les offres Free Mobile.
Pointés du doigt, le coût des appels depuis l'étranger hors union européenne, plus cher que chez les concurrents, les tarifs d'acquisition des téléphones (mieux vaut acheter directement votre iPhone chez Apple) et deux ou trois autres points plus accessoires.
La grosse question reste la qualité du réseau et du service, dont personne n'a pu encore se rendre compte. Et dans ce contexte, une série de clauses abusives ou problématiques limitent les obligations de Free : délai de rétablissement du service en cas de problème de 2 jours,
Passé le choc initial, une série d'articles de presse tentent de relativiser les choses et de dégoter les points noirs des offres de l'opérateur. Parfois un peu tirés par les cheveux, ceux-ci suscitent à leur tour des torrents de réactions négatives et obligent les médias à de drôles de mea culpa.
Ainsi, Le Monde s'interrogeait, hier :
Les forfaits Free Mobile : critiques interdites? Michaël Szadkowski y relatait les nombreuses critiques adressées au
journal de référencepar ses lecteurs. D'abord, ceux-ci estimaient le quotidien coupable de trop relayer le buzz pré-lancement, et y voyait la patte de l'actionnaire Xavier Niel ainsi que l'odeur du favoritisme. Après le lancement des offres, un décryptage vaguement critique de celles-ci alimente alors la critique : Le Monde, c'est sûr, essaie de faire plaisir aux annonceurs que sont Orange, Bouygues ou SFR.
Même aventure pour rue89 qui essaye de trouver
6 gros bémols aux offres de Free Mobile(sans grand succès, il faut bien l'avouer) et se sent obligé de publier, rapidement derrière, une critique en règle adressée par un lecteur. Presse-Citron, lui, retirera purement et simplement un article, là aussi plutôt à côté de la plaque.
Aujourd'hui, c'est au tour d'un acteur solide d'entrer dans la danse, avec l'UFC Que Choisir qui décrypte juridiquement les offres Free Mobile.
Au programme, les mêmes défauts que chez les autres opérateurs de téléphonie mobile : des clauses abusives, des frais annexes, des restrictions d’usage…, prévient d'emblée l'UFC.
Pointés du doigt, le coût des appels depuis l'étranger hors union européenne, plus cher que chez les concurrents, les tarifs d'acquisition des téléphones (mieux vaut acheter directement votre iPhone chez Apple) et deux ou trois autres points plus accessoires.
La grosse question reste la qualité du réseau et du service, dont personne n'a pu encore se rendre compte. Et dans ce contexte, une série de clauses abusives ou problématiques limitent les obligations de Free : délai de rétablissement du service en cas de problème de 2 jours,
trop longpour l'UFC, indemnisation limitée en cas de pépin, procédure de réclamation floue et absence d'engagement sur les débits.