Lors de la conférence Defcon du mois dernier, une tentative de piratage a visé 135 employés de grandes entreprises (dont Google, Microsoft ou encore Symantec). L'idée était de tester la résistance de ce public cible à des tentatives d'extorsion d'information relativement confidentielles par téléphone. Ces informations devaient aider au hacking des systèmes informatiques des entreprise et incluaient, notamment, l'OS, le navigateur ou les logiciels de protection utilisés.
Le plus souvent, les "hackeurs" expliquaient être du service informatique et avoir à faire face à une urgence. Il a été facile, avec cette méthode, de conduire la victime sur un site cible, lequel aurait pu être monté pour aider au piratage.
Durant les deux jours de l'expérience, seules 5 personnes - sur 135 "victimes" des deux sexes - ont résisté et n'ont dévoilé aucune information. Toutes étaient des femmes. Et pour comprendre le pourquoi, les avis divergent : pour d'aucun, les techniques d'infiltration auraient du être adaptées à un public féminin, pour d'autres les femmes témoignaient d'une méfiance et d'une intelligence "sociale" supérieure. Bon...
