Pink Floyd et Universal se rappellent au bon souvenir d'Apple
Par Arnaud Morel - Publié le
Les relation de Cupertino avec les majors de la musique ne sont jamais simples. En témoignent deux épisodes récents : la disparition des alums du groupe Pink Floyd de l'iTunes Store et celle de l'application Grooveshark.
Pour Pink Floyd, il s'agit simplement de la fin des droits d'exploitation anciennement détenus par EMI. La plupart des albums du groupe ont disparus d'iTunes ou d'Amazon. Le groupe, en outre, a gagné un procès, en mars, contre son label lui permettant désormais de s'opposer à la vente de morceaux individuels pour
Le cas de Groovershark est plus problématique : l'application de streaming musical a été évacuée de l'App Store suite à la plainte d'Universal UK,
Pour Pink Floyd, il s'agit simplement de la fin des droits d'exploitation anciennement détenus par EMI. La plupart des albums du groupe ont disparus d'iTunes ou d'Amazon. Le groupe, en outre, a gagné un procès, en mars, contre son label lui permettant désormais de s'opposer à la vente de morceaux individuels pour
préserver l'intégrité artistique de leur œuvre.
Le cas de Groovershark est plus problématique : l'application de streaming musical a été évacuée de l'App Store suite à la plainte d'Universal UK,
une surprise intégralepour l'éditeur. En cause, l'absence d'accord de distribution pour le catalogue Universal, partenaire d'un service concurrent.