Apple refuserait les abonnements sur l'AppStore !
Par Didier Pulicani - Publié le
Si la nouvelle se généralise, voilà qui pourrait faire couler beaucoup d'encre. Il se murmure qu'Apple refuserait les abonnements sur l'AppStore, notamment depuis l'iPad.
La presse fonctionne pourtant sur ce modèle depuis des dizaines d'années, ceci afin d'éviter au consommateur de payer chaque jour/semaine/mois et surtout, de bénéficier de rabais lorsqu'il s'engage sur une certaine durée. Pour le moment, seule une application,
Pour justifier de ce revirement, certains arguent qu'Apple désireraient avoir plus de contrôle sur les formules proposées. Par ailleurs, de nombreux éditeurs court-circuitent carrément l'AppStore pour vendre leurs abonnements (en passant par une vue Web et un paiement en direct), ce qui pourrait déplaire à notre cher iPapy. Dernière possibilité : Apple pourrait proposer un système d'abonnement sur l'AppStore directement et forcer les éditeurs à passer par ce biais. Si tel est le cas, il faudrait alors que la commission que prend Cupertino soit revue à la baisse, sans quoi la presse risque d'avoir du mal à accepter de telles conditions.
La presse fonctionne pourtant sur ce modèle depuis des dizaines d'années, ceci afin d'éviter au consommateur de payer chaque jour/semaine/mois et surtout, de bénéficier de rabais lorsqu'il s'engage sur une certaine durée. Pour le moment, seule une application,
Sports Illustrated, aurait été rejetée. Mais si la tendance se confirme, ce sont de nombreux programmes qui pourraient être concernés.
Pour justifier de ce revirement, certains arguent qu'Apple désireraient avoir plus de contrôle sur les formules proposées. Par ailleurs, de nombreux éditeurs court-circuitent carrément l'AppStore pour vendre leurs abonnements (en passant par une vue Web et un paiement en direct), ce qui pourrait déplaire à notre cher iPapy. Dernière possibilité : Apple pourrait proposer un système d'abonnement sur l'AppStore directement et forcer les éditeurs à passer par ce biais. Si tel est le cas, il faudrait alors que la commission que prend Cupertino soit revue à la baisse, sans quoi la presse risque d'avoir du mal à accepter de telles conditions.