Le boxon de l'android Marketplace [MAJ]
Par Arnaud Morel - Publié le
D'abord, c'est Cnet qui a déclenché la charge :
Entre les 144 applications proposant des sonneries pas tellement légales, les clones d'iTunes permettant, là aussi, des téléchargements pas trop réguliers (au fait les décrets d'application de l'Hadopi sont parus, la chasse va commencer), les applications vendues uniquement en dollars sans conversion proposée en euro, les moyens de paiement rejetés, l'Android Marketplace ne manque pas de chausses trappes.
environ 20 % des 48 000 applications de l'android Marketplace permettent à des programmes tiers d'accéder à vos données personnelles. [MAJ : Cnet a depuis, retiré son article estimant que l'étude lui servant de base était peu crédible, car conduite par des gens proches d'AT&T, vendeur exclusif de l'iPhone aux USA]. Puis, John Lech Johansen a développé l'argumentaire. En substance, l'Android Marketplace, c'est le boxon.
Entre les 144 applications proposant des sonneries pas tellement légales, les clones d'iTunes permettant, là aussi, des téléchargements pas trop réguliers (au fait les décrets d'application de l'Hadopi sont parus, la chasse va commencer), les applications vendues uniquement en dollars sans conversion proposée en euro, les moyens de paiement rejetés, l'Android Marketplace ne manque pas de chausses trappes.
Google ne fait pas assez le ménage sur son marché Android, s'irrite l'informaticien. Car, pour sa boutique d'applications, Google espère une modération aidée par les utilisateurs (sont-ils tous des techniciens avertis ?) et affiche une permissivité plutôt large. La chose a au moins le mérite d'être un contre-exemple à la politique stricte et a priori d'Apple.