Les droits d'auteurs, une question bien compliquée pour l'UMP
Par Arnaud Morel - Publié le
Le Monde s'amuse à compiler les violations des droits d'auteurs commises par des représentants du parti présidentiel, l'UMP, pourtant initiateur de la législation Hadopi, censée protéger, justement, ceux-ci.
Le très intriguant porte-parle du mouvement, Frédéric Lefebvre a ainsi copié/collé un article de Slate.fr, le dépouillant au passage de tous ses liens et n'offrant même pas un lien vers le site source. D'autres articles de presse ont subi le même sort.
Autres erreurs, l'utilisation sans autorisation d'un morceau de MGMT lors de meeting UMP, ou encore le fameux LipDub des jeunes UMP, reprenant un morceau de Marie-Mai (et de son éditeur Musicor), tandis que
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Le très intriguant porte-parle du mouvement, Frédéric Lefebvre a ainsi copié/collé un article de Slate.fr, le dépouillant au passage de tous ses liens et n'offrant même pas un lien vers le site source. D'autres articles de presse ont subi le même sort.
On s'étonne que le porte-parole de l'UMP qui a défendu avec une telle vigueur Hadopi méconnaisse les règles les plus évidentes qui régissent le droit d'auteur. Une méconnaissance qui semble fonctionner en sens unique: celui où Frédéric Lefebvre pille le contenu produit par d'autres, puisque sur son site on trouve la mention légale « copyright 2008 Frédéric Lefebvre. Tous droits réservés, s'amuse Slate.
Autres erreurs, l'utilisation sans autorisation d'un morceau de MGMT lors de meeting UMP, ou encore le fameux LipDub des jeunes UMP, reprenant un morceau de Marie-Mai (et de son éditeur Musicor), tandis que
l'interprète québécoise de la version utilisée ne souhaitait pas être associée à un clip politique.
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