Obama a beaucoup insisté pour garder son BlackBerry à la Maison Blanche. Il semblerait pourtant que, à moins de ne l'utiliser que pour des futilités, l'appareil fasse courir un réel risque à Barack. Notez que la plus grande incertitude réside dans le traitement des données par les serveurs canadiens de RIM, nécessaires à la plupart des service du BlackBerry. L'iPhone, lui, est beacoup plus indépendant, notamment pour l'utilisation d'Exchange. Mais l'article en question s'intéresse surtout à la localisation du président US, qui, en cas d'intrusion, pourrait être positionné assez facilement.