L'EPFL - école polytechnique fédérale de Lausanne, en Suisse/Vaud - clame que les certificats aujourd'hui imposés sur internet ne sont pas assez sécurisés. Le MD5 (une fonction de hachage cryptographique) utilisé par défaut serait désormais aisément coutournable et les autorités du web auraient tout intérêt à se tourner vers du SHA-2/SHA-3, qui nécessitent cette fois, de fortes puissances de calcul pour en venir à bout.