Dans 900 jours, plus d'adresses IP !
Par La Rédaction - Publié le
La cauchemar arrivera-t-il dans 3 ans ? Tout porte à le croire !
Les experts s'accordent à dire que l'heure de la pénurie d'adresses IP est arrivée. Dans 3 à 5 ans, les numéros aaa.bbb.ccc.ddd - qui ne sont que 4 milliards, ne couvrent désormais plus du tout la demande ! Avec la multiplication des appareils mobiles, il est en effet courant d'avoir 3 à 4 adresses IP par personne (un iMac, un MacBook et un iPhone, par exemple !)
Si les parades sont nombreuses (multiplications des réseaux privés, points de partage, etc.), ce ne sont que des solutions temporaires, et l'IPv6 se fait attendre. Comme le décrit cet article, le problème de migration vers cette nouvelle norme n'est pas forcément technique, mais plutôt financier. Les logiciels ne sont pas tous prêts à cette transition, et les coûts d'adaptation pourraient se chiffrer avec un nombre affolant de zéros...
Source
La question cruciale reste toutefois batarde : qui osera prendre la décision de faire basculer le web en IPv6 ? Car il faut bien le dire, si les initiatives locales (notamment en Chine) se multiplient, un organisme de gestion - tel l'ICANN- devra tôt ou tard, programmer le basculement global et entériner une bonne fois l'IPv4.
Les experts s'accordent à dire que l'heure de la pénurie d'adresses IP est arrivée. Dans 3 à 5 ans, les numéros aaa.bbb.ccc.ddd - qui ne sont que 4 milliards, ne couvrent désormais plus du tout la demande ! Avec la multiplication des appareils mobiles, il est en effet courant d'avoir 3 à 4 adresses IP par personne (un iMac, un MacBook et un iPhone, par exemple !)
Si les parades sont nombreuses (multiplications des réseaux privés, points de partage, etc.), ce ne sont que des solutions temporaires, et l'IPv6 se fait attendre. Comme le décrit cet article, le problème de migration vers cette nouvelle norme n'est pas forcément technique, mais plutôt financier. Les logiciels ne sont pas tous prêts à cette transition, et les coûts d'adaptation pourraient se chiffrer avec un nombre affolant de zéros...
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La question cruciale reste toutefois batarde : qui osera prendre la décision de faire basculer le web en IPv6 ? Car il faut bien le dire, si les initiatives locales (notamment en Chine) se multiplient, un organisme de gestion - tel l'ICANN- devra tôt ou tard, programmer le basculement global et entériner une bonne fois l'IPv4.