La rencontre entre Steve et Bill fut assez... plate.
Par Didier Pulicani - Publié le
Certains s'attendaient à un débat
Dans la suite de la conversation, les deux hommes sont resté très cordiaux. Pour Steve, ils sont
Si le
Au final, nous avons surtout assisté à une rencontre entre deux
Ségo-Sarko, pourtant, la rencontre entre Steve Jobs et Bill Gates s'est révélée finalement assez calme.
Je t'aime, moi non plus !n'ont cessé de se dire les deux hommes. Oh certes, ils ont bien avoué avoir des visions un peu différentes de l'informatique et de l'électronique. Pour iPapy, le logiciel et le matériel doivent fonctionner de pair, même si le hardware n'est qu'une
jolie boite pour emballer le software. Chez Billou, on se focalise avant-tout sur le logiciel, et ce depuis toujours.
Le soft, c'est toute ma vie !a lancé Gates.
Vous savez qu'Apple est actuellement un des plus important développeurs de logiciel pour Windows ?a-t-il déclaré, en clin d'oeil à son collègue.
Dans la suite de la conversation, les deux hommes sont resté très cordiaux. Pour Steve, ils sont
les deux hommes les plus chanceux de la Terrecar il étaient
là au bon moment et au bon endroit. L'un comme l'autre sont partis de zéro, et ne pensaient pas faire fortune dans l'informatique.
Il faut faire ce qu'on aimea lancé Jobs et immédiatement approuvé par Billou.
Si le
débat-chocn'a pas eu lieu, on peut aussi se rassurer de voir que les relations entre Microsoft et Apple sont apparemment assez bonnes. Les deux hommes ont avoué avoir réalisé un
mariage secret de plus de 10 ans(suite à l'accord de 97), laissant entendre que les deux compagnies avaient toujours eu intérêt à travailler de concert.
Steve et moi avons lancé Excel tous les deux à New York, c'était très fun !a lancé Bill Gates.
Au final, nous avons surtout assisté à une rencontre entre deux
amis d'enfance, même si les deux hommes n'ont cessé de se concurrencer depuis presque 30 ans. Hors caméras, il semble malgré tout que Steve et Bill soient un peu à l'image de
Mac & PCdans les publicité : deux visionnaires à leur façon qui ne cessent de se chamailler, mais qui au fond, s'apprécient tout de même beaucoup.