Le piratage, concurrent de Disney
Par Contributeur - Publié le
Après avoir constaté la disponibilité du dernier Desperate Housewives en très haut qualité sur les réseau P2P à peine 15mn après la diffusion de ce dernier, Anne Sweeney, très haut placée chez Disney, a reconnu considérer le piratage comme un modèle de business concurrentiel. Il jouerait selon elle sur trois paramètre très classiques : La qualité, le prix et la disponibilité.
Disney considérerait désormais le piratage comme un concurrent à surpasser plutôt qu'un opposant à qui faire la guerre. Si il s'agit là d'un réel changement d'attitude, il n'y a plus qu'à espérer que les apports pour les consommateurs - nous - soient bénéfiques.
Piracy is a business model
Disney considérerait désormais le piratage comme un concurrent à surpasser plutôt qu'un opposant à qui faire la guerre. Si il s'agit là d'un réel changement d'attitude, il n'y a plus qu'à espérer que les apports pour les consommateurs - nous - soient bénéfiques.
"We understand now that piracy is a business model," said Sweeney, twice voted Hollywood's most powerful woman by the Hollywood Reporter. "It exists to serve a need in the market for consumers who want TV content on demand. Pirates compete the same way we do - through quality, price and availability. We we don't like the model but we realise it's competitive enough to make it a major competitor going forward."
Piracy is a business model