La Presse française contre Google
Par Didier Pulicani - Publié le
align="right"]La presse française en ligne et professionnelle (dont la plupart ont une version papier, comme Libération ou Le Monde, par exemple) veut une interdiction
Vous connaissez certainement Google News. Le moteur de recherche scanne les sites des médias principaux français (Les sites Mac aussi, par exemple), indexe le contenu et affiche sur sa page de news, le début des articles (souvent 2 ou 3 lignes) ainsi qu'une image réduite ou un graphique. Si le lecteur désire lire l'article, il faut qu'il se rende sur le site officiel (liberation.fr, par exemple).
Mais les syndicats de la presse française ne le voient pas de cet oeil. Pour eux, Google
Finalement, Google ne fait que présenter des articles, et renvoyer des lecteurs vers les sites
Source
Pour être franc, voilà plutôt un moyen détourné de tenter de récolter facilement des fonds à l'entreprise américaine. Car en soit, beaucoup pensent que le référencement des sites ne conduit qu'à de la publicité gratuite, et non à de la concurrence, comme on aimerait bien le faire croire.
à la belgede protection des données sous copyright.
Vous connaissez certainement Google News. Le moteur de recherche scanne les sites des médias principaux français (Les sites Mac aussi, par exemple), indexe le contenu et affiche sur sa page de news, le début des articles (souvent 2 ou 3 lignes) ainsi qu'une image réduite ou un graphique. Si le lecteur désire lire l'article, il faut qu'il se rende sur le site officiel (liberation.fr, par exemple).
Mais les syndicats de la presse française ne le voient pas de cet oeil. Pour eux, Google
voleleur contenu sans autorisation, et en violant les copyrights. Ils exigent donc un droit à ne pas apparaître dans Google News, et surtout, une rémunération en cas d'acceptation de référencement.
Finalement, Google ne fait que présenter des articles, et renvoyer des lecteurs vers les sites
scannés, tout en faisant son travail de référencement. Et c'est là dessus que le débat pose problème : a-t-on le droit de référencer, et donc, de
pillerpartiellement le contenu d'un site ? C'est ce à quoi devra répondre la justice.
Source
Pour être franc, voilà plutôt un moyen détourné de tenter de récolter facilement des fonds à l'entreprise américaine. Car en soit, beaucoup pensent que le référencement des sites ne conduit qu'à de la publicité gratuite, et non à de la concurrence, comme on aimerait bien le faire croire.