Phil Schiller : collecte de données, recherche sur l’App Store, influenceurs et Arcade
Par Laurence - Publié le
Pour une deuxième journée consécutive Phil Schiller a continué sa déposition dans le procès entre Epic Games et Apple, révélant de nouveaux détails allant de la collecte de données à un programme d'influenceurs pour Apple Arcade.
Les avocats d'Epic lui ont posé un certain nombre de questions sur le type d'informations recueillies par Apple auprès de ses utilisateurs, y compris les données pour la personnalisation des annonces, le suivi et le stockage. Forcément, Phill Schiller a nié toutes les accusations, affirmant par exemple que les services de localisation concernent des applications ayant besoin de la géolocalisation pour fonctionner et non pour tracer les utilisateurs.
Phil Schiller a également révélé que l'équipe Apple Arcade travaillait sur un plan visant à toucher certains influenceurs dans le but de stimuler la plate-forme de jeu. Il a défini ces derniers comme
Le cadre exécutif a également défendu une directive interne portant sur la confidentialité des litiges (cette dernière demande aux développeurs de ne pas s'exposer dans la presse avec leurs différents avec l'App Store). Pour lui, Apple ne veut pas que les différends soient exposés et débattus publiquement, les médias ne possédant souvent pas
Interrogé sur la question de savoir si Apple favorise ses propres applications dans la recherche sur l'App Store, il a encore réfuté cette affirmation. Pour sa défense, il précise que l'algorithme utilise 42 facteurs différents qui
Les avocats d'Epic lui ont posé un certain nombre de questions sur le type d'informations recueillies par Apple auprès de ses utilisateurs, y compris les données pour la personnalisation des annonces, le suivi et le stockage. Forcément, Phill Schiller a nié toutes les accusations, affirmant par exemple que les services de localisation concernent des applications ayant besoin de la géolocalisation pour fonctionner et non pour tracer les utilisateurs.
Toutes les applications et tous les services fournis par l'intermédiaire de ces magasins ne sont pas examinés par Apple. Autoriser d'autres magasins d'applications pourrait ouvrir la porte à un nombre illimité de magasins dans les magasins, une absence totale de contrôle et une grande insécurité.
Phil Schiller a également révélé que l'équipe Apple Arcade travaillait sur un plan visant à toucher certains influenceurs dans le but de stimuler la plate-forme de jeu. Il a défini ces derniers comme
des personnes qui créent des vlogs sur YouTube et d'autres médias sociaux.
Le cadre exécutif a également défendu une directive interne portant sur la confidentialité des litiges (cette dernière demande aux développeurs de ne pas s'exposer dans la presse avec leurs différents avec l'App Store). Pour lui, Apple ne veut pas que les différends soient exposés et débattus publiquement, les médias ne possédant souvent pas
tous les faitsou les données des affaires. Notons que cette directive a depuis été supprimée.
Interrogé sur la question de savoir si Apple favorise ses propres applications dans la recherche sur l'App Store, il a encore réfuté cette affirmation. Pour sa défense, il précise que l'algorithme utilise 42 facteurs différents qui
aident le client à trouver ce qu'il recherche le plus, ce qui ne permet pas de favoriser les applications maison.