Neuralink démontre ses progrès avec un macaque jouant à Pong avec son cerveau (vidéo)
Par June Cantillon - Publié le
La firme d'Elon Musk, qui élabore des solutions permettant de faire communiquer l'homme et la machine de manière transparente, publie une vidéo afin de démontrer les progrès de la technologie.
La vidéo montre Pager, un macaque de 9 ans, jouant à Pong grâce à la technologie Neuralink. Les puces N1 Link implantées dans le cerveau du singe enregistrent dans un premier temps l'activité des neurones lorsque le sujet joue à Pong avec un joystick (la paille métallique le récompense avec un smoothie à la banane). Le joystick est ensuite débranché (puis totalement retiré), et seules les impulsions du cerveau qui engendraient auparavant les mouvements de sa main sont alors utilisées via une interface sans fil pour permettre à Pager de s'adonner au jeu vidéo, avec succès.
Elon Musk s'est également fendu d'un tweet rappelant que le but de Neuralink est de permettre à un individu paralysé de pouvoir interagir avec un smartphone avec son esprit plus rapidement qu'il ne le ferait avec ses mains. L'homme ajoute que les travaux sur les groupes de neurones gérant la motricité pourraient également permettre, à l'avenir, aux personnes paraplégiques de marcher à nouveau.
La vidéo montre Pager, un macaque de 9 ans, jouant à Pong grâce à la technologie Neuralink. Les puces N1 Link implantées dans le cerveau du singe enregistrent dans un premier temps l'activité des neurones lorsque le sujet joue à Pong avec un joystick (la paille métallique le récompense avec un smoothie à la banane). Le joystick est ensuite débranché (puis totalement retiré), et seules les impulsions du cerveau qui engendraient auparavant les mouvements de sa main sont alors utilisées via une interface sans fil pour permettre à Pager de s'adonner au jeu vidéo, avec succès.
Elon Musk s'est également fendu d'un tweet rappelant que le but de Neuralink est de permettre à un individu paralysé de pouvoir interagir avec un smartphone avec son esprit plus rapidement qu'il ne le ferait avec ses mains. L'homme ajoute que les travaux sur les groupes de neurones gérant la motricité pourraient également permettre, à l'avenir, aux personnes paraplégiques de marcher à nouveau.