Netflix dévoile son quota de contenus originaux français !
Par Laurence - Publié le
Netflix vient de dévoiler son catalogue à venir, avec 27 programmes français originaux (séries, films et documentaires) d'ici fin 2021. Certains ne manqueront pas de souligner l'existence des lois imposant à toute plateforme un quota de contenus tricolores. D'autres se contenteront de cette bonne nouvelle.
Au programme, on trouvera de nouveaux projets de films d'action, y compris la suite du thriller de Guillaume Pierret
Rappelons que depuis plusieurs mois, la réforme de l'audiovisuel est en cours avec une nouveau projet de loi, mais aussi des textes sur les contenus haineux, ou la réglementation des plates-formes. Celui-ci imposerait un quota assez contraignants pour Netflix -leader du marché français avec ses 6 millions d'abonnés. En effet, 25% du chiffre d’affaires réalisé en France par les plateformes devra être investi dans des œuvres européennes, principalement françaises. Au total, cela représente 200 millions d’euros, le double d'aujourd'hui. Il s'agit de garantir un minimum de
Variety
Au programme, on trouvera de nouveaux projets de films d'action, y compris la suite du thriller de Guillaume Pierret
Lost Bulletet
A tombeau ouvertde Regis Blondeau, un remake du film coréen
A Hard Day. A cela, s'ajouteront également
Le Dernier mercenaire(avec Jean-Claude Van Damme, Alban Ivanov et Miou-Miou) et la série
Braqueurs, un spin-off du film de Julien Leclercq. Netflix a également dévoilé quelques teasers pour patienter, notamment celui d'
Oxygened'Alexandre Aja.
Rappelons que depuis plusieurs mois, la réforme de l'audiovisuel est en cours avec une nouveau projet de loi, mais aussi des textes sur les contenus haineux, ou la réglementation des plates-formes. Celui-ci imposerait un quota assez contraignants pour Netflix -leader du marché français avec ses 6 millions d'abonnés. En effet, 25% du chiffre d’affaires réalisé en France par les plateformes devra être investi dans des œuvres européennes, principalement françaises. Au total, cela représente 200 millions d’euros, le double d'aujourd'hui. Il s'agit de garantir un minimum de
participation à la production locale.
Variety