Apple, blanchie des accusations de plagiat (The Servant) et de censure politique
Par Laurence - Publié le
Cette semaine a été positive du coté juridique pour Apple ! La très mystérieuse série de M. Night Shyamalan disponible sur Apple TV+ vient d’être blanchie des accusations de plagiat. Il lui était reproché de s’être un peu trop inspirée de
Mais pour le juge John F. Walter,
Cette bonne nouvelle dans le domaine juridique n'est pas la première de la semaine, puisqu'Apple a également bénéficié d'une décision favorable mercredi dernier. La cour d'appel des États-Unis à Washington, D.C., a rejeté une action en justice accusant certaines firmes de la Silicon Valley de faire taire des opinions pro-conservateurs. Déposé en 2018 par l'association Freedom Watch et Laura Loomer, le recours accusait Apple, Facebook, Twitter et Google de violer le premier amendement.
Il était par ailleurs allégué que les défendeurs
Source 1 et 2
La vérité sur Emanuel, un thriller dramatique américain réalisé par Francesca Gregorini et sorti en 2014. Cette dernière affirmait que la série avait copié l'intrigue et avait utilisé la même
approche cinématographique!
Mais pour le juge John F. Walter,
The Servantn'est pas assez similaire au film pour que la demande soit fondée et justifier une atteinte aux droits d'auteur.
En résumé, les prétendues similitudes entre les œuvres pâlissent par rapport aux différences dans l'intrigue, les thèmes, le dialogue, l'humeur, le cadre, le rythme, les personnages et la séquence des événements, et la Cour conclut que les œuvres en cause ne sont pas substantiellement similaires d'un point de vue juridique.
Cette bonne nouvelle dans le domaine juridique n'est pas la première de la semaine, puisqu'Apple a également bénéficié d'une décision favorable mercredi dernier. La cour d'appel des États-Unis à Washington, D.C., a rejeté une action en justice accusant certaines firmes de la Silicon Valley de faire taire des opinions pro-conservateurs. Déposé en 2018 par l'association Freedom Watch et Laura Loomer, le recours accusait Apple, Facebook, Twitter et Google de violer le premier amendement.
Il était par ailleurs allégué que les défendeurs
avaient monté une conspiration pour supprimer intentionnellement et volontairement tout contenu en faveur du parti conservateur. A noter que cette décision arrive en pleine polémique sur la liberté d'expression, Donald Trump étant particulièrement remonté après l'étiquetage de ses tweets.
Source 1 et 2