Alors que le débat fait rage sur les applications de traçage pour lutter contre le covid-19, la Nouvelle-Zélande a choisi une autre approche, une solution de compromis. Il s'agit de la version numérique d'un journal que chaque utilisateur tiendrait individuellement. Les ressortissants enregistreraient leurs déplacements -à titre volontaire et anonyme- et leurs données ne seraient pas partagées.
C'est juste au cas où une personne est atteinte du COVID-19, elle possède une référence facile pour signaler où elle se trouvait sur une période de temps, a déclaré le Premier ministre Jacinda Ardern lors d'une conférence de presse à Wellington.
Rappelons que l'API Apple / Google ne fait pas l'unanimité (votre notre étude sur le sujet). Certains gouvernements cherchent à créer des applications fonctionnant avec des données décentralisées, affirmant avoir besoin des données de localisation pour identifier les zones d'infection et concentrer les ressources de santé.
