Apple Card : Goldman Sachs prévoit une chute de 35% d'AAPL
Par Laurence - Publié le
Même si elle est le partenaire privilégié de l'Apple Card, Goldman Sachs se montre à nouveau pessimiste à propos d'AAPL, prévoyant que le titre perdra un tiers de sa valeur cette année. En fait, Goldman Sachs dresse la liste des 10 valeurs, qui sont dangereusement surévaluées et qui pourraient chuter d'au moins 20% en 2020.
Cupertino serait des plus touchés, retombant de près de 35% à 192 dollars. Ses bénéfices à venir devraient être bien en deçà des prévisions de Wall Street, et sa croissance devrait se caler sur le reste du marché au cours des deux prochaines années.
D'après elle, l'engouement des marchés et des investisseurs en 2019 est éphémère. Face à une augmentation aussi soudaine que généralisée, le marché serait particulièrement volatil et certains titres se seraient retrouvés pondérés artificiellement. L'année qui débute devrait connaître une croissance plus modérée, l'indice S&P 500 affichant une progression de moins de 5%.
L'établissement avait déjà prédit -à tort- une baisse de 26% du titre. Cette précédente prévision se reposait sur la stratégie d'Apple avec Apple TV +, notamment l'année
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Cupertino serait des plus touchés, retombant de près de 35% à 192 dollars. Ses bénéfices à venir devraient être bien en deçà des prévisions de Wall Street, et sa croissance devrait se caler sur le reste du marché au cours des deux prochaines années.
D'après elle, l'engouement des marchés et des investisseurs en 2019 est éphémère. Face à une augmentation aussi soudaine que généralisée, le marché serait particulièrement volatil et certains titres se seraient retrouvés pondérés artificiellement. L'année qui débute devrait connaître une croissance plus modérée, l'indice S&P 500 affichant une progression de moins de 5%.
L'établissement avait déjà prédit -à tort- une baisse de 26% du titre. Cette précédente prévision se reposait sur la stratégie d'Apple avec Apple TV +, notamment l'année
gratuiteavec l'achat de certains produits. La bourse lui avait donné tort, puisque l'action a atteint brièvement les 300 dollars, dépassant les 1300 milliards de capitalisation boursière.
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