L'Arcep lance un appel au calme pour les enchères de la 5G
Par Laurence - Publié le
Avec un certain retard, la France se trouve en plein processus d’attribution des fréquences 5G aux différents opérateurs. Mais, selon Sébastien Soriano, le président de l’ARCEP, il semblerait que l’État soit un peu trop gourmand.
Hier, ce dernier a présenté un dossier au Sénat, avec une mise en garde non dissimulée.
À de nombreuses reprises, les quatre opérateurs -Orange, SFR, Free et Bouygues- ont fait part de leurs inquiétudes sur les montants susceptibles d’être demandés. Ils avancent en leur [dé]faveur leurs capacités d’investissement et les coûts conséquents pour la construction des infrastructures réseaux à venir.
En réponse, le gouvernement a rappelé son intention de trouver un
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Hier, ce dernier a présenté un dossier au Sénat, avec une mise en garde non dissimulée.
Nous invitons le gouvernement à une certaine modération en ce qui concerne les redevances, et, à bien conserver la ligne telle qu’elle nous a été définie dans sa lettre d’orientation, qui est de prévoir une généralisation de la 5G et de ne pas utiliser cette attribution pour générer des ressources pour l’État qui seraient très importantes.
On a testé la 5G !
À de nombreuses reprises, les quatre opérateurs -Orange, SFR, Free et Bouygues- ont fait part de leurs inquiétudes sur les montants susceptibles d’être demandés. Ils avancent en leur [dé]faveur leurs capacités d’investissement et les coûts conséquents pour la construction des infrastructures réseaux à venir.
En réponse, le gouvernement a rappelé son intention de trouver un
juste milieu, permettant de garantir les besoins et conséquences financières de chacun. Cependant, si le prix de départ se situait entre 1 et 2 milliards d’euros, quelques rumeurs feraient état d’un montant plus élevé entre 3 et 4 milliards.
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