En 2014, Apple et Facebook s’étaient engagés sur une voie un peu particulière, avec un programme de congélation des embryons, afin d’aider leurs salariés ayant des difficultés à avoir des enfants. Profondément critiqué outre-Atlantique (Apple ferait mieux d'installer des garderies dans son nouveau siège), d’autres d’autres firmes de la Silicon Valley (dont Tesla et Starbucks) les ont suivies.
Désormais, plus d'un grand groupe américain sur quatre assumerait financièrement un traitement contre l’infertilité. Il faut dire que sa prise en charge n’est pas obligatoire par les assureurs privés. Il revient donc au milieu professionnel de se différencier en mettant en place un programme de financement maison.
Selon Jake Anderson-Bialis de Fertility IQ, de telles initiatives seraient accueillies favorablement avec 62% des travailleurs -dont l'employeur avait entièrement financé une FIV- déclarant vouloir rester à leur poste. En revanche, d’autres n’y voient qu’un moyen de recruter, voire fidéliser le personnel.
