Depuis le lancement d’Apple News+ à l’issue de la keynote du 25 mars, la formule est accueillie différemment par les éditeurs, certains dénonçant un système trop lourd -trop cher- d’Apple. Pour autant, la firme californienne n’avait pas vraiment répondu à cette critique. Toutefois, elle est revenue officiellement sur son nouveau Service, après presque deux mois d’exercice (et donc l’expiration du mois gratuit).
C’est ainsi à Eddy Cue que revient le rôle d’intervenir sur cette question,. Nous avons entendu beaucoup de commentaires des centaines d’éditeurs disponibles dans Apple News +. Les dernières mises à jour d’Apple News + visent à mettre en valeur le journalisme et à mettre les sources d’information les plus fiables à la portée de tous.
Les clients d’Apple News + sont des lecteurs très engagés, la plupart visitant l’app tous les jours. Des centaines de personnes chez Apple, au sein d'équipes éditoriales, d'ingénieurs, de marketing et de concepteurs, s'efforcent de faire d'Apple News + la meilleure expérience pour ceux, qui aiment lire leurs titres préférés et découvrir de nouvelles histoires.
Mais, il n’est pas question ici d’être polémique. Comme il est fréquent, la firme a choisi de mettre en lumière les points positifs de la plate-formepour présenter des couvertures en direct innovantes, des numéros spéciaux et des reportages personnalisés pour les abonnés.
Elle insiste donc sur les nouveautés introduites avec iOS 12.3 et macOS 10.14.5, depuis le 13 mai, notamment la possible de suivre en direct certains publications ou le téléchargement et la lecture hors connexion. Évidemment, pour les résidents hors USA, la formule parle peu, et ce, d’autant que le widget Apple News est toujours en carafe depuis plusieurs heures.
En avril dernier, des rumeurs ont suggéré qu'Apple News+ serait parvenu au chiffre de 200 000 utilisateurs (avec un mois d’essai gratuit, certes) au cours de ses 48 premières heures. Il reste à savoir combien seront convertis en abonnés payants. Rappelons qu’Apple laisse (ou prend selon les uns ou les autres), 50% des bénéfices du service aux différents éditeurs.
