Free floating : Uber (Jump) déploie 1000 vélos et trottinettes dans Paris
Par Laurence - Publié le
Aujourd’hui, jeudi 11 avril 2019, Uber officialise le lancement de ses vélos et trottinettes électriques Jump dans Paris, à utiliser via l’app Uber : Commander une course. Pour ses débuts, c’est une flotte de 500 vélos et 500 trottinettes disponibles 24h/24h et 7j/7j, avec un déploiement progressif dans les prochaines semaines. Celles-ci viendront s’ajouter aux 2 482 Vélib électriques et 7 791 mécaniques, comptabilisés -hier à 17:00- par le site velib.nocle.fr.
Le vélo à assistance électrique (VAE) reconnaissable à sa couleur rouge sera bridé à 25 km/h avec une autonomie de 50 km. Il est sensé être plus costaud qu’un Vélib (32 kg contre 23 kg). Les trottinettes Jump (Segway) sont sensiblement identiques aux modèles de la concurrence. Mais là aussi la vitesse sera bloquée à 20 km/h (au lieu des 25 km/h autorisés), ceci étant
Au niveau du fonctionnement, on ne devrait pas être perdu puisqu’il s’agit du même système de free floating : tout passe par l’app. L’utilisateur géolocalise son moyen de transport, le déverrouille en scannant le QR Code et suit les instructions de l’appli. Le service dispose d’un prix unique de 15 centimes la minute d’utilisation, plus un euro de frais de déverrouillage (offert à Paris pendant trois semaines). C’est le tarif appliqué par la plupart des services de trottinettes électriques. Le vélo Jump s’avèrera plus cher que le Vélib électrique (2€ la première demi-heure, sans abonnement) ou l’Oribiky (12 centimes la minute en utilisation libre).
Cependant cette arrivée se fait dans un contexte un peu particulier. En effet, le succès est bien là, les trottinettes électriques sont devenues de plus en plus présentes, et affichent une hausse spectaculaire de 129% en France sur un an. Selon les chiffres publiés par la fédération des professionnels de la micro-mobilité, 1,64 million d’engins de déplacement personnel ont trouvé un foyer. Malgré tout, l’envers de la médaille existe, notamment au regard des incivilités générées par certains utilisateurs. A tel point que le Conseil de Paris débat sur leur régulation et pense même à instaurer une redevance. Cette dernière pourrait s’élever entre 50 à 65 € par engin et par an.
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Le vélo à assistance électrique (VAE) reconnaissable à sa couleur rouge sera bridé à 25 km/h avec une autonomie de 50 km. Il est sensé être plus costaud qu’un Vélib (32 kg contre 23 kg). Les trottinettes Jump (Segway) sont sensiblement identiques aux modèles de la concurrence. Mais là aussi la vitesse sera bloquée à 20 km/h (au lieu des 25 km/h autorisés), ceci étant
un choix de prioriser la sécuritéselon un porte-parole d’Uber France. Rappelons qu’à terme, Jump entend développer et construire son propre modèle de trottinette pensée pour le partage.
Au niveau du fonctionnement, on ne devrait pas être perdu puisqu’il s’agit du même système de free floating : tout passe par l’app. L’utilisateur géolocalise son moyen de transport, le déverrouille en scannant le QR Code et suit les instructions de l’appli. Le service dispose d’un prix unique de 15 centimes la minute d’utilisation, plus un euro de frais de déverrouillage (offert à Paris pendant trois semaines). C’est le tarif appliqué par la plupart des services de trottinettes électriques. Le vélo Jump s’avèrera plus cher que le Vélib électrique (2€ la première demi-heure, sans abonnement) ou l’Oribiky (12 centimes la minute en utilisation libre).
Cependant cette arrivée se fait dans un contexte un peu particulier. En effet, le succès est bien là, les trottinettes électriques sont devenues de plus en plus présentes, et affichent une hausse spectaculaire de 129% en France sur un an. Selon les chiffres publiés par la fédération des professionnels de la micro-mobilité, 1,64 million d’engins de déplacement personnel ont trouvé un foyer. Malgré tout, l’envers de la médaille existe, notamment au regard des incivilités générées par certains utilisateurs. A tel point que le Conseil de Paris débat sur leur régulation et pense même à instaurer une redevance. Cette dernière pourrait s’élever entre 50 à 65 € par engin et par an.
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