Les taxis flottants du français SeaBubbles vendus à des investisseurs étrangers
Par Laurence - Publié le
Découverts au CES de 2017, on les avait croisés au dernier Vivatech. Rapidement, les français de SeaBubbles avaient été contraints à l’expatriation sur le sol américain pour passer la vitesse supérieure. Ils avaient pu alors présenter six de leurs prototypes à Miami pour montrer l’avantage de leur solution électrique en terme de prix et de consommation. Le SeaBubble est en effet un véhicule de 5 places (dont une pour le pilote) qui s’élève au dessus de l’eau de plusieurs mètres à une vitesse optimale de 40-50 km/heure.
Le concept a tellement séduit outre atlantique que les deux fondateurs de la société ont accepté de céder leurs parts (66% de la société) à un groupe d'investisseurs étrangers. Si aucun détail n'a été divulgué, il semble que les offres soient venues d'industriels et de groupes familiaux de Suède, des Etats-Unis, et même de Suisse. Les deux fondateurs ne sont pas mis à l'écart et devraient rester ingénieurs au sein de la structure mise en place par les nouveaux propriétaires. Ils devraient ainsi poursuivre les réflexions sur leur concept avec notamment le développement d'une bulle autonome.
En 2017 déjà, SeaBubbles avait évoqué sa volonté de naviguer vers des eaux plus propices à son développement. Interrogé par Reuters, Alain Thébault -cofondateur- expliquait alors que ses difficultés n'étaient pas seulement liées au financement mais à la lourdeur des procédures administratives.
Source
Le concept a tellement séduit outre atlantique que les deux fondateurs de la société ont accepté de céder leurs parts (66% de la société) à un groupe d'investisseurs étrangers. Si aucun détail n'a été divulgué, il semble que les offres soient venues d'industriels et de groupes familiaux de Suède, des Etats-Unis, et même de Suisse. Les deux fondateurs ne sont pas mis à l'écart et devraient rester ingénieurs au sein de la structure mise en place par les nouveaux propriétaires. Ils devraient ainsi poursuivre les réflexions sur leur concept avec notamment le développement d'une bulle autonome.
En 2017 déjà, SeaBubbles avait évoqué sa volonté de naviguer vers des eaux plus propices à son développement. Interrogé par Reuters, Alain Thébault -cofondateur- expliquait alors que ses difficultés n'étaient pas seulement liées au financement mais à la lourdeur des procédures administratives.
Source