Facebook : 540 millions de données privées exposées sur des serveurs Amazon
Par Laurence - Publié le
Le mois d’avril est a peine entamé, que déjà arrive un énième scandale chez Facebook. Il s’agit aujourd’hui de 540 millions de dossiers d’utilisateurs, hébergés sans protection sur le cloud d'Amazon et accessibles au public. Selon la société mexicaine de cybersécurité UpGuard -à l’origine de cette découverte- les données concernent aussi bien les noms et identifiants, les commentaires, les likes et même des mots de passe.
Ces dernières auraient été récupérées par deux éditeurs via les API de Facebook et malgré l’interdiction des CGU de stocker de telles données sur une base de données publique. Averti, le réseau se serait rapproché d’Amazon pour sécuriser la situation en détruisant ces bases.
En février dernier, le Wall Street Journal avait révélé une pratique plutôt controversée concernant les apps les plus populaires iOS et Android, qui auraient envoyé des informations personnelles. Dans certains cas, cela se serait produit immédiatement après l’enregistrement des informations via l’app, même si l'utilisateur n'était pas connecté à Facebook ou même s’il n'était pas un utilisateur du réseau. Il s’agissait en pratique d’éléments sensibles, certaines relevant carrément du domaine de la santé.
Il y a quelques jours, Mark Zuckerberg s’était justement offert une tribune dans le Washington Post pour parler de protection des données et de réglementation d’Internet. Et, il avait d’ailleurs souligné quatre thèmes majeurs -dans lesquels Facebook a d’ailleurs péché- : le contenu préjudiciable, l’influence sur les élections, la confidentialité et l’accès /portabilité des données...
Source
Ces dernières auraient été récupérées par deux éditeurs via les API de Facebook et malgré l’interdiction des CGU de stocker de telles données sur une base de données publique. Averti, le réseau se serait rapproché d’Amazon pour sécuriser la situation en détruisant ces bases.
En février dernier, le Wall Street Journal avait révélé une pratique plutôt controversée concernant les apps les plus populaires iOS et Android, qui auraient envoyé des informations personnelles. Dans certains cas, cela se serait produit immédiatement après l’enregistrement des informations via l’app, même si l'utilisateur n'était pas connecté à Facebook ou même s’il n'était pas un utilisateur du réseau. Il s’agissait en pratique d’éléments sensibles, certaines relevant carrément du domaine de la santé.
Il y a quelques jours, Mark Zuckerberg s’était justement offert une tribune dans le Washington Post pour parler de protection des données et de réglementation d’Internet. Et, il avait d’ailleurs souligné quatre thèmes majeurs -dans lesquels Facebook a d’ailleurs péché- : le contenu préjudiciable, l’influence sur les élections, la confidentialité et l’accès /portabilité des données...
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