Insolite : la ferme "McIntosh" est à vendre (oui, elle a donné son nom au Mac !)
Par Didier Pulicani - Publié le
Si la rumeur de la Pomme croquée est souvent attribuée (à tort) à Turing (l'origine du logo d'Apple est en fait plutôt banale), la firme possède tout de même un lien étroit avec le monde agricole.
Avant d'être un ordinateur, le McIntosh était bien-sûr une variété de Pomme, adulée par Jef Raskin -considéré par beaucoup comme le papa du Mac, d'où l'appellation. Or l'histoire ne date pas des années 70, mais plutôt des années... 1800 ! C'est bien au début du XIXe siècle que John McIntosh a racheté une ferme dans... l'Ontario, au Canada.
En tout, ce sont à peine 600 hectares de vergers qui sont désormais mis aux enchères pour la somme d'enbviron 675 000$ (600 000€). Sauf qu'en dehors du nom, il ne reste plus grand chose de ces célèbres Pommiers, qui occupaient jusqu'à 40% du marché canadien à l'époque
Le vieil homme, propriétaire des terres, n'est pas pressé de vendre et à ce prix, il ne semble pas prêt de trouver preneur. Capitalisant sur l'aura autour d'Apple, il espère que certains en feront une attraction touristiques...
Source (Merci Philippe !)
Avant d'être un ordinateur, le McIntosh était bien-sûr une variété de Pomme, adulée par Jef Raskin -considéré par beaucoup comme le papa du Mac, d'où l'appellation. Or l'histoire ne date pas des années 70, mais plutôt des années... 1800 ! C'est bien au début du XIXe siècle que John McIntosh a racheté une ferme dans... l'Ontario, au Canada.
En tout, ce sont à peine 600 hectares de vergers qui sont désormais mis aux enchères pour la somme d'enbviron 675 000$ (600 000€). Sauf qu'en dehors du nom, il ne reste plus grand chose de ces célèbres Pommiers, qui occupaient jusqu'à 40% du marché canadien à l'époque
Aujourd'hui, les pommiers rouges McIntosh ne sont ni coupés ni ramassés, avec des centaines de kilogrammes de fruits pourris sur le sol. Certains ont disparu dans la prolifération sauvage, avec à la place des poiriers, des pruniers et des noix, alors que le verger est lentement rendu à la brousse, écrit-il Stu Mills pour CBC.
Le vieil homme, propriétaire des terres, n'est pas pressé de vendre et à ce prix, il ne semble pas prêt de trouver preneur. Capitalisant sur l'aura autour d'Apple, il espère que certains en feront une attraction touristiques...
Source (Merci Philippe !)