Piratage : Yahoo ne verserait que 50 millions de dollars de dommages et intérêts
Par Laurence - Publié le
Le chemin fut plutôt chaotique pour Yahoo! ces dernières années, qui a du affronter de nombreux failles de sécurité touchant 3 milliards d'utilisateurs. C'est par un accord déposé lundi (mais dévoilé aujourd'hui) que la firme a accepté de verser 50 millions de dollars de dommages-intérêts et de fournir deux ans de services gratuits à 200 millions de personnes, dont les adresses électroniques et autres informations personnelles ont été volées.
Si la transaction est approuvée par la justice, les utilisateurs concernés pourront faire la queue et demander une quotepart. Ce fonds mis en place indemnisera les titulaires de compte à un taux de 25 dollars de l'heure, et ce, au temps passé à la résolution des problèmes liés au piratage. Si le préjudice peut être prouvé, il pourra être demandé au maximum 15 heures, soit plafonné à 375 dollars. Ceux qui ne peuvent pas prouver les pertes pourront toutefois déposer un dossier et prétendre à une réparation maximale de cinq heures, soit 125 dollars.
Cette transaction -très favorable pour Yahoo!- intervient alors que les estimations initiales des dommages et intérêts dépassaient le milliard de dollars. La société avait contesté ce chiffre, indiquant que de nombreux utilisateurs
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Si la transaction est approuvée par la justice, les utilisateurs concernés pourront faire la queue et demander une quotepart. Ce fonds mis en place indemnisera les titulaires de compte à un taux de 25 dollars de l'heure, et ce, au temps passé à la résolution des problèmes liés au piratage. Si le préjudice peut être prouvé, il pourra être demandé au maximum 15 heures, soit plafonné à 375 dollars. Ceux qui ne peuvent pas prouver les pertes pourront toutefois déposer un dossier et prétendre à une réparation maximale de cinq heures, soit 125 dollars.
Cette transaction -très favorable pour Yahoo!- intervient alors que les estimations initiales des dommages et intérêts dépassaient le milliard de dollars. La société avait contesté ce chiffre, indiquant que de nombreux utilisateurs
avaient soumis de fausses informations sur leur date de naissance, leur nom et d'autres éléments de leur vie, lorsqu'ils ont configuré leur messagerie électroniqueet que, par conséquent, ils ne pouvaient avoir subi de préjudice !
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