#ChipGate : Supermicro dément toujours mais ouvre une autre enquête
Par Laurence - Publié le
Super Micro Computer -la firme qui est accusée d’avoir implanté des puces espions dans les serveurs des entreprises tech et des services de renseignements américains- vient de renouveler ses démentis. Elle indique également à ses clients qu’elle va procéder à de nouvelles vérifications.
Selon Reuters, elle a écrit un courrier en ce sens, le 18 octobre, soit la veille de l'intervention de Tim Cook. Ce dernier avait demandé à Bloomberg BusinessWeek, dans une démarche assez inhabituelle, de
Sur ces dernières semaines, on peut toutefois constater la rapidité de réaction d’Apple. Si les principaux intéressés ont immédiatement démenti l’article en question, International Association of IT Asset Managers (IAITAM) indique que seule Cupertino semble avoir appliqué des pratiques appropriées pour l’acquisition d’équipements et avoir détecté des problèmes avec les serveurs de Supermicro. Elle faisait déjà référence à cet incident de 2016.
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Malgré l'absence de preuve de l'existence d'une puce malveillante, nous allons procéder à un nouvel examen complexe et fastidieux pour contredire davantage cet article
Selon Reuters, elle a écrit un courrier en ce sens, le 18 octobre, soit la veille de l'intervention de Tim Cook. Ce dernier avait demandé à Bloomberg BusinessWeek, dans une démarche assez inhabituelle, de
dire la véritéet de se rétracter. Il faut dire que la société est plutôt en position inconfortable. En effet, son matériel a déjà fait l’objet d’une vérification par Apple en 2016 qui y aurait trouvé des anomalies et l’aurait signalé au FBI. Toutefois, dans cette nouvelle affaires, tous les intervenants -sauf Bloomberg- semblent blanchir son activité.
Sur ces dernières semaines, on peut toutefois constater la rapidité de réaction d’Apple. Si les principaux intéressés ont immédiatement démenti l’article en question, International Association of IT Asset Managers (IAITAM) indique que seule Cupertino semble avoir appliqué des pratiques appropriées pour l’acquisition d’équipements et avoir détecté des problèmes avec les serveurs de Supermicro. Elle faisait déjà référence à cet incident de 2016.
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