Apple ne serait toujours pas trop fan du droit à la réparation
Par Laurence - Publié le
Dans un contexte de plus en plus marqué par l’obsolescence (programmée ou pas), les litiges se multiplient face aux firmes techs, notamment Apple. Louis Rossmann, un réparateur indépendant en a fait les frais. Il y a quelques semaines, Didier avait évoqué le cas de cet ingénieur spécialisé dans les modèles de Mac (mais non agréé Apple). Le réparateur, était intervenu dans un reportage très critique sur CBC, pour évoquer des politiques de réparation qu’il estime très contestables.
Juste après ce reportage, il reçoit -fortuitement- un avis de saisie de la part du Service américain de la protection des frontières de
Il y critique le coût des réparations au Genius Bar -disproportionné par rapport à la nature des pannes ou du prix des pièces. Mais il rage aussi sur la tendance de Cupertino à rendre plus difficiles la résolution des problèmes matériels par les ateliers ou les utilisateurs eux-mêmes. Et finalement, il dénonce une opposition franche au droit à la réparation !
Cette histoire intervient dans un contexte très virulent sur l’obsolescence programmée et le droit à la réparation, où Apple doit faire face à de nombreux recours. Pour autant, elle défend sa position en rappelant la nécessité de protéger ses technologies (mais aussi les données de ses clients) ou encore ses procédés de fabrications. La question du droit à réparation, aux USA ou en Europe (en France) ou ailleurs, est devenue un sujet sensible, ne faisant qu’Exacerber l’insatisfaction des consommateurs.
Source
Juste après ce reportage, il reçoit -fortuitement- un avis de saisie de la part du Service américain de la protection des frontières de
20 batteries d’ordinateurs portables Apple(destinées à des appareils obsolètes), au motif qu’elles seraient contrefaites. Et c’est sur YouTube qu’il décide de mener l’offensive, à coups de vidéos plutôt virulentes.
Il y critique le coût des réparations au Genius Bar -disproportionné par rapport à la nature des pannes ou du prix des pièces. Mais il rage aussi sur la tendance de Cupertino à rendre plus difficiles la résolution des problèmes matériels par les ateliers ou les utilisateurs eux-mêmes. Et finalement, il dénonce une opposition franche au droit à la réparation !
Cette histoire intervient dans un contexte très virulent sur l’obsolescence programmée et le droit à la réparation, où Apple doit faire face à de nombreux recours. Pour autant, elle défend sa position en rappelant la nécessité de protéger ses technologies (mais aussi les données de ses clients) ou encore ses procédés de fabrications. La question du droit à réparation, aux USA ou en Europe (en France) ou ailleurs, est devenue un sujet sensible, ne faisant qu’Exacerber l’insatisfaction des consommateurs.
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