Le français CLS (balises Argos) travaille sur des nanosatellites pour les objets connectés
Par Laurence - Publié le
En 2020, le nombre des objets connectés dépasserait les 30 milliards. Apple ne s'y est pas trompée, au vu de ses travaux sur l'Apple Watch, le HomePod ou encore ses projets de véhicule autonome. Le point commun de ces produits est de reposer sur une connexion -directe ou pas- pour la plupart de leurs fonctions. A cela, s'ajoutent les demandes d'autres secteurs comme l'industrie, la logistique, la recherche, l’agriculture ou encore les loisirs de plein air. Or, aujourd'hui, 90% de la planète est considérée comme non connectée.
La société toulousaine CLS (Collecte Localisation Satellites), opérateur du système des balises Argos et filiale du Cnes, entend bien œuvrer en ce sens via sa nouvelle structure dénommée Kinéis. Cette dernière a pour but la mise en orbite -d'ici 2020- de nanosatellites qui permettraient
La connectivité s’appuierait sur un ensemble de 20 nanosatellites (à savoir de petite taille et d’environ 25 kilos, se déplaçant à basse altitude). Ceux-ci seraient dotés d'un modem Kinéis pour localiser et transmettre des données, selon une technologie de communication unique, peu onéreuse, développée sur mesure et dédiée aux objets connectés. De cette manière, la jeune firme entend devenir un acteur du New Space, mouvement prônant la "démocratisation" de l’accès à l’espace.
Source 1 et 2
Image Kineis
La société toulousaine CLS (Collecte Localisation Satellites), opérateur du système des balises Argos et filiale du Cnes, entend bien œuvrer en ce sens via sa nouvelle structure dénommée Kinéis. Cette dernière a pour but la mise en orbite -d'ici 2020- de nanosatellites qui permettraient
à plusieurs millions d’objets d’être connectés où qu’ils soient sur la surface du globe.
La connectivité s’appuierait sur un ensemble de 20 nanosatellites (à savoir de petite taille et d’environ 25 kilos, se déplaçant à basse altitude). Ceux-ci seraient dotés d'un modem Kinéis pour localiser et transmettre des données, selon une technologie de communication unique, peu onéreuse, développée sur mesure et dédiée aux objets connectés. De cette manière, la jeune firme entend devenir un acteur du New Space, mouvement prônant la "démocratisation" de l’accès à l’espace.
Source 1 et 2