Le RGPD créé un nouveau business de la protection des données
Par Laurence - Publié le
Vendredi sera chargé ! En effet, dans cinq jours, le RGPD entrera en vigueur, harmonisant vingt-huit législations nationales sur la protection de la vie privée et des données au sein de l'Union. Outre le fond du problème, une question de forme se pose, et, non des moindres celles de la mise en pratique du règlement.
En effet, le texte implique des changements nombreux et coûteux pour les professionnels, ouvrant de très belles opportunités commerciales. Ainsi, les analystes comme Paul Jordan (Directeur général européen de l'International Association of Privacy Professionals) ont constaté un essor -sans réelle surprise- d’un nouveau marché de la technologie de la vie privée.
Ces nouvelles sociétés, spécialisées dans la protection de la vie privée, proposent des outils et des services "clefs en main", qui vont de la collecte du consentement des utilisateurs aux traitements des données, en passant par l'aide aux entreprises pour cartographier leurs flux internes ou l'automatisation de tâches comme répondre à une violation de données.
Désormais, les entreprises devront être en mesure d'obtenir (et de prouver) le consentement clair et sans équivoque des utilisateurs pour traiter leurs données personnelles. Les violations des données devront pouvoir être signalées aux autorités dans les 72 heures et les amendes pourront aller jusqu'à 4% des revenus mondiaux. De quoi développer de nouvelles vocations !
Source
En effet, le texte implique des changements nombreux et coûteux pour les professionnels, ouvrant de très belles opportunités commerciales. Ainsi, les analystes comme Paul Jordan (Directeur général européen de l'International Association of Privacy Professionals) ont constaté un essor -sans réelle surprise- d’un nouveau marché de la technologie de la vie privée.
Ces nouvelles sociétés, spécialisées dans la protection de la vie privée, proposent des outils et des services "clefs en main", qui vont de la collecte du consentement des utilisateurs aux traitements des données, en passant par l'aide aux entreprises pour cartographier leurs flux internes ou l'automatisation de tâches comme répondre à une violation de données.
Désormais, les entreprises devront être en mesure d'obtenir (et de prouver) le consentement clair et sans équivoque des utilisateurs pour traiter leurs données personnelles. Les violations des données devront pouvoir être signalées aux autorités dans les 72 heures et les amendes pourront aller jusqu'à 4% des revenus mondiaux. De quoi développer de nouvelles vocations !
Source