Cryptomonnaie : le cryptojacking, une technique pour miner en toute (in)discretion
Par Laurence - Publié le
Outre les solutions alternatives pour miner de la cryptomonnaie, certaines dérives n’ont pas tardé à être développées, notamment ce que l'on appelle le cryptojacking. Cette technique consiste à insérer du code via des sites Web pour faire « travailler » les ordinateurs des utilisateurs et mettre ainsi à profit leur puissance de calcul pour miner.
Le principe de base est d’être discret : ne générer aucune gêne, ne créer aucun problème et surtout ne pas surcharger le système. Les effets perçus sont insignifiants (normalement un léger ralentissement ou une hausse de l'activité réseau ou CPU). Ces bouts de codes étant des bibliothèques Javascript, ils sont directement liés au code des sites Web et ne devraient, en théorie, avoir aucun impact direct sur un système de contrôle industriel.
Selon Le Figaro, le cryptojacking,
The Guardian a révélé que plusieurs centaines de sites britanniques, dont celui de l'Information Commissioner's Office -l'équivalent de la CNIL- ont été concernés par un tel procédé. Wired a indiqué, de son coté, qu'un tel code a été détecté dans le réseau de contrôle d'une centrale de gestion des eaux en Europe, qui utilisait le réseau de la centrale pour miner du Monero.
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Le principe de base est d’être discret : ne générer aucune gêne, ne créer aucun problème et surtout ne pas surcharger le système. Les effets perçus sont insignifiants (normalement un léger ralentissement ou une hausse de l'activité réseau ou CPU). Ces bouts de codes étant des bibliothèques Javascript, ils sont directement liés au code des sites Web et ne devraient, en théorie, avoir aucun impact direct sur un système de contrôle industriel.
Selon Le Figaro, le cryptojacking,
qui semblait jusqu'à présent circonscrit aux particuliers, promet d'être un nouvel enjeu de taille pour les entreprises.
The Guardian a révélé que plusieurs centaines de sites britanniques, dont celui de l'Information Commissioner's Office -l'équivalent de la CNIL- ont été concernés par un tel procédé. Wired a indiqué, de son coté, qu'un tel code a été détecté dans le réseau de contrôle d'une centrale de gestion des eaux en Europe, qui utilisait le réseau de la centrale pour miner du Monero.
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