Violence, suicide, revenge porn : les dessous de la politique de modération de Facebook
Par Laurence - Publié le
Alors que le réseau social est sous les feux des projecteurs concernant son contenu, des documents dévoilés par "The Guardian" révèlent des exemples d'une précision assez redoutable de ce qui est autorisé ou pas sur Facebook -le "politiquement incorrect" en somme.
Nous vous en parlions en avril dernier, Facebook déploie l'artillerie lourde afin de faciliter le signalement des contenus à risque, afin d'empêcher automatiquement l'échange des images une fois que les contenus ont été identifiés et interdits. En effet, les utilisateurs disposent désormais d'une option pour signaler une image comme inappropriée (avec plusieurs raisons possibles) et plus particulièrement quand il s'agit de nudité.
Selon The Guardian, en janvier, Facebook a ainsi désactivé plus de 14 000 comptes pour cause de nudité, sachant que 33 de ces incidents impliquaient des enfants. Il est même indiqué que les modérateurs ont examiné des dizaines de milliers de comptes suspects pouvant présenter des cas similaires.
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Nous vous en parlions en avril dernier, Facebook déploie l'artillerie lourde afin de faciliter le signalement des contenus à risque, afin d'empêcher automatiquement l'échange des images une fois que les contenus ont été identifiés et interdits. En effet, les utilisateurs disposent désormais d'une option pour signaler une image comme inappropriée (avec plusieurs raisons possibles) et plus particulièrement quand il s'agit de nudité.
Selon The Guardian, en janvier, Facebook a ainsi désactivé plus de 14 000 comptes pour cause de nudité, sachant que 33 de ces incidents impliquaient des enfants. Il est même indiqué que les modérateurs ont examiné des dizaines de milliers de comptes suspects pouvant présenter des cas similaires.
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